Tout le monde a entendu parler de twitter, ce service de mico-blogging qui permet d'adresser des messages en moins de 140 signes à ses correspondants. Mais cet outil ne s'est pas encore totalement démocratisé et reste l'apanage d'une minorité férue de technologie.
Pour autant il recèle d'un énorme potentiel. Outil de veille concurrentiel, de prospection, de promotion, il offre des opportunités formidables pour proposer des partenariats, présenter une nouvelle offre, lancer un sondage, propager un buzz, améliorer le référencement de son site internet et tisser un réseau d'influence avec des contacts cibles et des suiveurs potentiels. Twitter doit toutefois rester une source de valeur ajoutée (partage de liens, d'idées, d'articles...) et un élément déclencheur de débats en vue de réactions en chaîne. Le maître mot étant interaction et échanges.
Nombre de personne consulte twitter de manière sporadique. Pour autant, même si ce mico-blogging abrite une communauté active et que l'outil s'avère particulièrement attractif dans le milieu du web, les limites techniques sont bien réelles dans une perspective de communication à grande échelle (difficile à positionner, restriction de la taille des messages, etc.), comparées aux blogs et autres réseaux sociaux, aux communautés virtuelles tels que Facebook, viadeo, MySpace qui offrent bien plus d'inscrits et des outils de diffusion de l'information bien plus pratiques (images, vidéos, publicité, groupes....)
Maud Massot-Pellet